Le réseau de la santé est-il débordé à cause de la COVID-19?

Du 1er avril 2020 au 31 mars 2021, le réseau québécois de la santé a enregistré 700 393 hospitalisations. En comptant les chirurgies d’un jour, le total des admissions à l’hôpital a été de 975 187. Ce sont les données fournies par le ministère de la Santé et des Services sociaux. 

Comparons maintenant ces données avec les statistiques sur la COVID-19 de l’Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ), statistiques que nous répètent quotidiennement les médias. Pendant la même période de 12 mois, le nombre total d’hospitalisations « liées à la COVID-19 » a été de 20 620, ce qui représente 2,9 % des hospitalisations et 2,1 % du total des admissions à l’hôpital. Oui, vous avez bien lu : 98 % des admissions à l’hôpital au cours de l’épouvantable année 2020-2021 n’avaient aucun lien avec la COVID-19.  

N’est-il pas choquant d’apprendre qu’en fin de compte, les personnes supposément atteintes de la COVID-19 n’utilisent qu’une toute petite partie des ressources du réseau de la santé? N’est-ce pas encore plus choquant lorsqu’on sait que, non contents de dissimuler au public la proportion minime que représente le nombre d’hospitalisations « liées à la COVID-19 », le gouvernement et les médias exagèrent ce nombre?

Ce n’est pas pour rien que l’expression consacrée est « hospitalisations liées à la COVID-19 », et non « hospitalisations pour cause de COVID-19 ». Quand une personne est admise à l’hôpital, on lui fait subir un test de dépistage, peu importe la raison pour laquelle elle se retrouve là. Si vous devez vous faire opérer à la hanche et que votre test de dépistage est positif, vous comptez dans les « hospitalisations liées à la COVID-19 ». 

Un test peu fiable à l’origine des statistiques sur les hospitalisations

Le recours au test de dépistage employé depuis mars 2020, que l’on appelle RT-PCR (reverse transcriptase polymerase chain reaction), a toujours été fortement critiqué parce que cette technique ne permet pas de détecter une infection ou une maladie. Elle ne fait qu’amplifier la quantité de fragments d’ARN ou d’ADN se trouvant dans les sécrétions prélevées, fragments qui peuvent avoir des provenances aussi inconnues que diverses. Ils ne viennent pas nécessairement d’une infection virale en cours. Selon le nombre de cycles d’amplification utilisé, qui dépasse parfois 40, la quantité de ces fragments pourra être des milliards, voire des billions de fois supérieures à la quantité contenue dans le prélèvement. 

Aux États-Unis, les Centers for Disease Control (CDC) ont prévenu les laboratoires qu’après le 31 décembre 2021, le test RT-PCR sera abandonné au profit d’une technique capable de « faciliter la distinction entre le SARS-COV-2 et le virus de la grippe ». Faciliter la distinction est une façon de dire que le test RT-PCR n’est pas assez spécifique et que, loin de permettre de savoir si une personne est malade ou contagieuse, c’est en fait une technique qui permet de multiplier un nombre arbitraire de fois une quantité infinitésimale de molécules, comme l’a déjà expliqué l’inventeur de cette technique, le prix Nobel Kari Mullis. Les médias et certaines autorités déploient beaucoup d’énergie pour tenter de le nier, mais c’est bel et bien le point de vue très éclairé de M. Mullis, qui est malheureusement décédé en 2019, paix à son âme.

Autrement dit, la personne dont l’hospitalisation est « liée à la COVID-19 » n’a peut-être pas cette maladie. Elle a seulement eu un résultat positif à un test incapable de distinguer entre les virus ou de détecter la maladie. Il n’y a aucun moyen de savoir exactement combien d’hospitalisations ont été « causées par la COVID-19 » parce que le gouvernement ne nous fournit pas ces statistiques. Au lieu de 2 %, ce n’est peut-être que 0,2 %, en fin de compte.

Quoi qu’il en soit, il est indéniable que le nombre d’hospitalisations « liées à la COVID-19 » n’a représenté qu’une toute petite fraction des admissions à l’hôpital au cours de l’année 2020-2021. Pourquoi donc le gouvernement du Québec et les médias nous ont-ils matraqués jour après jour avec des chiffres sans les mettre en contexte? Voilà un comportement qui a nettement l’air d’une manœuvre destinée à effrayer la population, et je ne suis pas du tout le premier à faire ce constat

Les individus qui nous annoncent jour après jour le nombre de cas, d’hospitalisations et de décès qu’ils associent à la COVID-19 ont-ils vraiment pour but de protéger le réseau de la santé, tandis que le gouvernement continue de prendre des décisions insensées ayant pour effet de surcharger le personnel soignant? Ne cherchent-ils pas plutôt à justifier diverses mesures plus radicales les unes que les autres qui culminent aujourd’hui avec l’utilisation du passeport vaccinal et la vaccination obligatoire? 

Quand on regarde en toute objectivité les statistiques officielles fournies par l’État lui-même, il est difficile de conclure que M. Legault et les journalistes sont de bonne foi. Injectons de force à tout le monde un vaccin inutile, nous disent-ils, parce que tout au plus 2 % des admissions à l’hôpital ont peut-être un lien avec un virus que l’on peut attraper même une fois vacciné. Quelle belle logique! 

Je n’ai jamais vu un seul reportage dans les médias permettant au public de mettre en perspective les « hospitalisations liées à la COVID-19 ». Je n’ai pas entendu Radio-Canada ou TVA nous informer chaque jour que ces hospitalisations ne représentaient que 2 % des admissions à l’hôpital. Je ne les ai jamais entendus nous dire non plus qu’en 2019-2020, le nombre d’hospitalisations a été de 822 699, ce qui signifie qu’une diminution sans précédent de 17 % a eu lieu en 2020-2021.

Une gestion sanitaire désastreuse et des milliardaires toujours plus riches

La baisse des hospitalisations pendant la crise de la COVID-19 est le reflet de la gestion sanitaire désastreuse de M. Legault et de M. Arruda. Des dizaines de milliers de personnes ne sont pas allées à l’hôpital alors qu’elles auraient dû le faire. Au moins 140 000 opérations ont été reportées. Des Québécois n’ont pas reçu les traitements dont ils avaient besoin. Aujourd’hui, leur genou les fait souffrir ou leur blocage coronarien s’est aggravé. Certains risquent de mourir d’un cancer ou d’un infarctus ou en sont déjà morts. 

À l’évidence, aucune vie n’a été sauvée depuis que le gouvernement et les médias ne cessent d’agiter l’épouvantail de la COVID-19. Beaucoup de vies ont en fait été perdues. Si le réseau de la santé va mal, c’est que le gouvernement a tout fait pour que la situation déjà mauvaise avant 2020 ne fasse qu’empirer. Aujourd’hui, il s’apprête à appliquer encore une autre mesure désastreuse : congédier des milliers de médecins, d’infirmières et de préposés aux soins qui ne veulent rien savoir du traitement génique expérimental que M. Legault tente de leur faire injecter de force, sans égard à leurs droits fondamentaux. 

Au lieu de protéger ses concitoyens comme il le prétend, M. Legault aide les actionnaires de l’industrie pharmaceutique à gagner des dizaines de milliards de dollars avec de prétendus vaccins à l’efficacité douteuse qui causent beaucoup de morts et d’autres effets secondaires graves. Injecter de l’ARN messager à tout le monde est plus important pour lui que de fournir à la population les services de santé dont elle a besoin. Dans cette optique, les journalistes achetés par M. Legault à grand renfort de subventions ont intérêt à passer sous silence certaines données encombrantes.

Milliardaire, gouverneur et colporteur de 3e dose

Le 23 aout 2021, le gouverneur milliardaire de la Virginie occidentale, Jim Justice, constate une augmentation de 26 % du nombre de tests positifs parmi les personnes ayant reçu deux doses du traitement génique expérimental surnommé « vaccin ». Il constate aussi une augmentation de 21 % du nombre d’hospitalisations et une augmentation de 25 % du nombre de décès  parmi les personnes ayant reçu deux doses.

La solution de M. Justice est simple : faites-vous vacciner une troisième fois sans attendre. Quand un traitement supposément préventif n’empêche pas des personnes de tomber malades ou de mourir, on peut résoudre le problème en donnant une dose additionnelle du même traitement inefficace à ceux qui ne sont pas malades. C’est logique, n’est-ce pas?

Du haut de sa chaire d’homme d’affaires plein aux as, le gouverneur aime faire toutes sortes d’affirmations gratuites, à l’instar de François Legault et Justin Trudeau, deux autres politiciens qui nagent dans le fric. Il en sait beaucoup plus que les pauvres ignares qu’il gouverne puisqu’il a été dûment instruit par des médecins qui n’ont jamais traité un seul patient atteint de la COVID-19. Des médecins comme le Dr Clay Marsh, un doyen de faculté universitaire bien installé dans son bureau, loin des malades.

Horacio Arruda n’a jamais traité un malade contre la COVID-19, lui non plus. S’il l’avait fait, il ne l’avouerait surtout pas aux culs-terreux de Québécois qu’il terrorise depuis mars 2020. Il ne voudrait surtout pas les informer sur les vertus de l’hydroxychloroquine, l’azithromicine, le zinc, l’ivermectine, le budésonide et les autres substances dont des médecins intègres se servent pour guérir un fort pourcentage de leurs patients atteints de la COVID-19. Cette pharmacopée ne peut être citée que dans les histoires d’horreur débitées par Radio-Canada et les autres médias aux ordres, qui mettent en garde le public contre ce qu’ils qualifient de médicaments inefficaces et dangereux en invoquant de fausses études publiées dans des revues scientifiques aussi corrompues que prestigieuses. Aucun traitement ne fonctionne, tenez-vous-le pour dit. Vaccinons-nous; c’est notre planche de salut. C’est aussi, incidemment, la garantie de profits mirobolants pour Moderna et Pfizer.

Le gouverneur Justice ne se contente pas d’appeler la 3e dose de tous ses voeux. Il incite les parents et grands-parents à tout faire pour convaincre les jeunes de se faire injecter des fragments de code génétique dans l’organisme. Pourquoi? Difficile de le savoir. Mais le gouverneur ne connait qu’une seule chanson, celle des vaccins. Un enfant de cinq ans en bonne santé qui joue dans un parc pourrait causer la mort d’un nonagénaire cloitré ayant reçu trois doses de vaccin. On ne sait jamais.

L’état d’urgence sera permanent, dit Legault

Voilà, c’est fait. Notre autocrate national vient de nous l’annoncer officiellement : le masque, la distanciation sociale, les couvre-feux, les confinements, les amendes, le passeport vaccinal et la vaccination obligatoire sont là pour toujours. Notre nouvelle normalité sera faite de dictats gouvernementaux. Nous aurons la liberté que Sa Sainteté Legault 1er nous consentira.

Depuis l’aplatissement de la courbe jusqu’aux promesses d’immunité collective, nous avons continué de croire les mensonges du gouvernement les uns après les autres, et voilà ce que nous rapporte notre docilité. Bombardés de publicité, d’incitatifs et de menaces, nous nous sommes fait vacciner par solidarité ou par lassitude, en espérant retrouver notre liberté. Aujourd’hui, nous nous rendons compte que nous avons été trahis. Les portes de la prison se referment lentement derrière nous. 

Les gouvernements et les politiciens de la fausse opposition violent à répétition les droits et les libertés les plus fondamentaux de la population, y compris le droit à la vie et le droit à la sécurité, qui sont garantis par la Charte canadienne des droits et libertés. Mais surtout, ils violent la loi du Tout-Puissant, sur laquelle repose tout notre système juridique. Ils sont possédés par le démon, qui se déguise et feint la vertu pour mieux faire le mal.

La Cour suprême a statué à plusieurs reprises que nul ne peut être contraint de recevoir un traitement médical, à plus forte raison si le traitement est expérimental. Le Code de Nuremberg, adopté en 1947 à la suite du procès des nazis, nous interdit lui aussi de soumettre des êtres humains à des expériences comme s’ils étaient des rats de laboratoire. Trudeau, Legault et les autres seront jugés sévèrement pour les crimes qu’ils sont en train de commettre. Ils n’échapperont ni au tribunal de l’Histoire ni au jugement dernier.

Il n’y a pas si longtemps, beaucoup étaient encore convaincus que nous allions retrouver une vie normale grâce à la vaccination. C’est ce que le ministre Dubé leur avait promis en mai, alors qu’il nous encourageait à nous faire injecter des fragments de code génétique en agitant la carotte de l’immunité collective. Pas plus tard que la semaine dernière, le même sinistre individu nous annonçait en fin de compte que l’immunité collective ne serait jamais atteinte, pas même avec 100 % de vaccination.

Rendons-nous à l’évidence. Trudeau vient d’acheter 105 millions de doses à Moderna. Pourquoi une telle quantité si ce n’est pour vacciner les Canadiens à répétition? Déjà, dans un pays comme Israël, on s’aperçoit que les supposés vaccins donnent des résultats de plus en plus mauvais, qui empirent rapidement au fil du temps et qui sont de loin inférieurs à l’immunité naturelle. Tous les 6 mois, nous allons être obligés de recevoir une nouvelle dose d’ARN messager pour pouvoir conserver des « privilèges » qui sont en fait des droits inaliénables.

L’immunité naturelle et les traitements l’emportent sur les faux vaccins

Les personnes qui ont attrapé la COVID-19 sont bien immunisées, et de manière durable. Elles n’ont pas du tout besoin de se faire vacciner. Mais Trudeau et Legault nous disent que, même si nous nous dévouons corps et âme à notre travail depuis des années, comme les infirmières et les préposés aux soins, et même si nous sommes déjà immunisés contre la COVID-19, nous devons livrer nos corps en pâture à l’industrie pharmaceutique, sans quoi ces deux messieurs vont nous mettre au chômage sans autre forme de procès. Si ce n’est pas de la tyrannie, il faudrait qu’on nous explique ce que c’est. 

Faisons confiance à la nature, qui a permis à l’humanité de traverser les millénaires sans l’aide de Bill Gates et des autres vaccinateurs compulsifs. Faisons confiance aussi aux médecins qui n’ont pas renié leur serment d’Hippocrate. Lorsqu’une personne attrape la COVID-19, elle peut être vite guérie grâce aux traitements qui fonctionnent très bien et que beaucoup de médecins utilisent, même s’il leur est interdit d’en parler dans les médias. 

La preuve que les faux vaccins contre la COVID-19 sont inutiles est facile à faire : à l’été 2020, alors que personne n’était vacciné, il n’y avait pas plus de cas, d’hospitalisations et de décès qu’à l’été 2021. La preuve que masques, confinements et couvre-feux n’ont rien à voir avec la santé est également facile à faire : le Québec est la province qui a le record absolu des morts et des hospitalisations, pourtant c’est là que les restrictions prétendument sanitaires sont les plus sévères. 

Réfléchissons un peu. Nous allons devoir risquer des thromboses, des myocardites,  des paralysies de Bell, des AVC et tout un tas d’autres effets secondaires pouvant aller jusqu’à la mort simplement pour conserver un « passeport vaccinal » renouvelable tous les six mois. De surcroit, les effets à long terme du traitement génique expérimental qu’on nous présente comme un vaccin ne sont pas connus. 

Qui nous dit que ce traitement ne fait pas partie du projet de Bill Gates visant à réduire la population de la terre avec des vaccins? Ce projet n’est pas le fruit de l’imagination des complotistes puisqu’on peut voir M. Gates sur Internet en train d’en parler ouvertement, lui qui a bâti un sordide empire de la vaccination et qui, grâce à son argent, tire les ficelles un peu partout dans le monde médical, y compris au Québec, où il déverse des millions sur les établissements d’enseignement et de santé.
 

Quelques établissements québécois financés par Bill Gates

Établissements québécois financés par Bill Gates
Cette liste n’est pas exhaustive.

L’omniprésente propagande sur la COVID-19 a transformé beaucoup de gens en automates. Ils s’imaginent que ceux qui contredisent les autorités sanitaires ne sont pas dignes de foi. Ils pensent qu’aucun expert n’a une opinion divergente alors que des dizaines de milliers de professionnels de la santé ont signé la Déclaration de Great Barrington et que les témoignages que l’on essaie de censurer sont nombreux. Les mensonges orchestrés par la tentaculaire mafia mondialiste sont tellement gros que les habitués des grands médias ne peuvent pas s’imaginer qu’une pareille machination soit possible. 

Les mesures sanitaires sont conçues pour empêcher les gens de se voir et de se parler comme avant. La distanciation sociale, c’est le contraire de la société. La peur entretenue par le masque, c’est ce qui fait que des personnes âgées peuvent être emprisonnées dans leur chambre pendant deux mois sous prétexte de les protéger. Nos bourreaux attisent les tensions sociales parce qu’ils savent que tant que nous serons désunis, ils pourront resserrer l’étau. 

Allons-nous continuer de courber l’échine? Allons-nous accepter l’impensable? La terre de grands espaces et de liberté que Dieu nous a donnée pourrait-elle sombrer définitivement dans les ténèbres du mensonge, de la duperie et de la servitude? Non! Nous n’avons pas le droit de nous laisser faire comme ça. Le temps est venu de nous battre de toutes nos forces.

Réveillons ceux qui dorment encore. Descendons massivement dans la rue avec nos pancartes et nos drapeaux.

 

Marche de la résistance pacifique

Samedi 11 septembre 2021 à 13 heures

Place Émilie-Gamelin, Montréal

 
Nous réclamons :

  • La fin sans condition de l’état d’urgence sanitaire
  • L’abrogation de la loi sur la santé publique
  • La fin immédiate de toutes les mesures
  • La liberté vaccinale (libre-choix)
  • La fin définitive de la propagande médiatique
  • Un débat public en direct
  • Une enquête indépendante sur la gestion de la pandémie
  • L’accès aux études scientifiques sur lesquelles le gouvernement base ses décisions